Dîner tôt, le bon réflexe bien-être

« Qui veut vivre sain, dîne peu et soupe moins ». Ce dicton du 16ème siècle reprend une vérité connue depuis longtemps : un repas du soir frugal contribue au mieux-être général. En effet, dîner tôt (et plutôt léger) contribue à améliorer la qualité de nos nuits ainsi que notre bien-être quotidien. Holissence vous explique comment profiter au mieux des bienfaits du dernier repas de la journée.

Dîner tôt, pour quels bienfaits ?

Soyons honnêtes, après une longue journée de travail, du temps passé dans les transports et diverses tâches administratives et ménagères effectuées, nous avons souvent une seule envie : ralentir le rythme. Si cela est une très bonne chose, dans le cas du dîner, il demeure bon de garder l’œil sur la montre et d’éviter le combo apéritif / grignotage, entrainant un dernier repas tardif. Réjouissant sur le moment, mais plutôt néfaste pour notre métabolisme.

Le repas du soir, même basé sur un plat sain et équilibré, enclenche toujours le mécanisme de la digestion et sollicite l’organisme. Or, celui-ci, pour fonctionner au mieux, doit se reposer durant douze à seize heures. En dînant tard, vous prenez ainsi le risque de réduire le temps entre deux repas cruciaux – le dîner et le petit-déjeuner – et « couper » la période de repos nécessaire à votre corps. 

Après la digestion et durant votre sommeil, le corps voit le pancréas se mettre en veille et sa sécrétion d’hormones augmenter. Hormone de croissance, hormone du sommeil et mélatonine sont ainsi décuplées. Durant cette phase de jeûne nocturne, il va également déclencher la combustion des lipides, les fameux responsables de la fluctuation du poids.

Ainsi, dîner tôt permet de stabiliser son poids (et de ne pas en prendre) mais aussi de réduire les maladies cardiovasculaires, le possible diabète ou hypertension et serait même intéressant pour amoindrir les risques de certains cancers (sein et prostate notamment). Si on savait que le contenu de l’assiette avait une forte importance, l’heure semble l’être tout autant. 

Tenir une période de jeûne nocture

Le jeûne nocturne, pour être efficace, dure entre douze et seize heures, selon le métabolisme de chacun. Pas toujours simple à mettre en pratique. Par exemple, en prenant un petit-déjeuner à 8 heures, le dîner s’achève à 20 heures pour obtenir douze heures de jeûne. En théorie c’est facile, mais la réalité nous rattrape souvent, avec un retour à la maison tardif et le petit-déjeuner pris très tôt avant de partir de la maison ! 

Pour respecter le repos nocturne, vous pouvez par exemple réaliser un maximum de plats à l’avance pour n’avoir qu’à réchauffer le dîner (et gagner du temps) ou envisager de petit-déjeuner plus tardivement. Si cela vous parait malgré tout trop compliqué, vous pouvez commencer en par tester le week-end puis envisager ce jeûne un jour ou deux en plus dans votre semaine. Les bienfaits ne tarderont pas à vous donner envie de continuer dans votre lancée ! 

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Prenez soin de vous et de vos proches !