Plusieurs éléments de la vie quotidienne peuvent vous faire monter en pression : les transports en commun, les difficultés que l’on peut rencontrer dans la vie professionnelle comme dans la vie personnelle, les deadlines à respecter, la sensation de manquer de temps… Mais grâce à la méditation, le sport ou encore le lâcher-prise, vous pouvez arriver à gérer votre stress.
Gérer son stress en se dépensant
Vous connaissez sûrement les endorphines, les hormones du bien-être qui sont libérées lors d’un exercice physique. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout simplement qu’une pratique régulière d’une activité sportive permet non seulement d’évacuer les tensions et de canaliser l’énergie – et donc de combattre le stress-mais aussi de procurer un –intense- sentiment de bien-être. Et qui dit “bien-être”, dit forcément “détente”.
Gérer son stress en respirant, en soufflant
La méditation ainsi que la sophrologie sont deux méthodes qui peuvent vous aider à gérer votre stress au quotidien. Comment ? Via des exercices très simples notamment basés sur la respiration, la concentration et le lâcher-prise. D’autres méthodes montrent aussi leur efficacité contre le stress comme par exemple l’aromathérapie qui, grâce à des huiles essentielles bien spécifiques, vous aide à canaliser et gérer vos émotions ainsi que votre stress.
Gérer son stress en prenant du recul
Devant certaines situations ou événements irritants et stressants, il n’est pas toujours évident de garder son calme. Pourtant, la force du mental joue un rôle primordial dans la gestion du stress. Pensez positif ! Cela ne signifie pas faire l’autruche. Pas du tout. Il s’agit de se poser les bonnes questions pour éviter de dramatiser inutilement une situation ou un événement qui, au final, n’en vaut probablement pas la peine. En modifiant votre perception des événements pour se focaliser sur le positif, vous arriverez à voir la vie sous un autre jour. Il s’agit d’une habitude à prendre, d’un travail sur soi à effectuer mais dont les bénéfices sur votre humeur et votre stress sont avérés. “Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles” aurait dit Sénèque. Vous avez saisi la nuance ?
